Eglise de l'Assomption de Notre Dame à Olonzac

Présentation sommaire: 

L’église Notre-Dame-de l’Assomption, église paroissiale depuis 1871, a été consacrée le 19 mars 1900 ; des reliques de saint Désiré et saint Vincent ont été enfermées dans le maître-autel.

L’église, orientée N-S, a la forme d’une croix, symbolisant le corps du Christ en croix, dont les chapelles latérales représentent les bras et le chœur (légèrement décentré, selon la tradition qui veut que le Christ ait la tête penchée à gauche), la tête.

 Au fond à gauche, se trouvent les fonds baptismaux.

En remontant vers le chœur, on trouve sainteThérèse de Lisieux, saint Jude, la chapelle de la Médaille Miraculeuse (ancienne sacristie, transformée en1982), et enfin sainte Marie Madeleine et sainte Bernadette.

 Description générale:

L’église Notre-Dame-de l’Assomption, église paroissiale depuis 1871, a été consacrée le 19 mars 1900 ; des reliques de saint Désiré et saint Vincent ont été enfermées dans le Maître autel.

L’église, orientée N-S, a la forme d’une croix, symbolisant le corps du Christ en croix, dont les chapelles latérales représentent les bras et le chœur (légèrement décentré, selon la tradition qui veut que le Christ ait la tête penchée à gauche), la tête.

 Au fond, à gauche, se trouvent les fonds baptismaux.

En remontant vers  le chœur, on trouve sainteThérèse de Lisieux, saint Jude, la chapelle de la Médaille Miraculeuse (ancienne sacristie, transformée en1982), et enfin sainte Marie Madeleine et sainte Bernadette.

La chapelle de gauche est celle de la sainte Croix (fête le 14 septembre). La dévotion à la sainte Croix remonte au milieu du XVI^e siècle, quand la confrérie de la sainte Croix a été créée (présence d’une relique de la vraie croix). Dans cette chapelle, à gauche, on trouve une statue de saint Joseph et, au-dessus de l’autel, le Christ tenant la sainte Croix et indiquant de sa main droite la rosace qui représente Marie tenant son fils mort. C’est le soleil levant qui éclaire en premier ce vitrail pour rappeler à tout chrétien le chemin du Salut.

En se dirigeant vers la sacristie, on peut voir trois statues représentant sainteThérèse d’Avila, saint Louis de Gonzague et saint Roch (sous ce dernier, un bénitier en marbre).

Dans le chœur, on trouve quatre statues représentant sainte Germaine, saint Jean l'évangéliste, saint Jean le Baptiste et sainte Claire.

Les vitraux du chœur représentent les mystères du Rosaire : à gauche, les mystères douloureux (agonie, flagellation, couronnement d’épines, portement de croix, mise en croix) ; au centre, les mystères glorieux (la Résurrection, l’Ascension, la Pentecôte, l’Assomption, le couronnement de Marie) ; à droite, les mystères joyeux : l’annonce à Marie, la visite à Élisabeth, Noël, la purification, Jésus retrouvé au Temple.)

Le chœur a été restauré en 1983. L’ancien maître-autel a été séparé : le retable, apposé au mur, contient le Saint-Sacrement ; la table a été avancée au centre et le sol recouvert de marbre.

La table d’autel est à remarquer pour sa longueur et sa beauté. Cinq niches renferment cinq statues en marbre représentant Jésus le Bon Pasteur, entouré des quatre évangélistes avec leur attribut respectif. Ces quatre évangélistes se retrouvent dans les vitraux, face nord ils entourent Notre Dame, les bras baissés (elle accueille notre prière), et le Christ, les bras levés (Il transmet nos prières à Dieu).

À droite du chœur, à côté de la 2^e sacristie, se trouvent les statues de saint Antoine de Padoue et de sainte Geneviève.

Dans la chapelle de droite, dite de la Vierge, se trouvent trois statues de pierre : une Piéta et saint Pierre provenant de l’église Saint-Jean du Puy, retrouvées dans le mur lors de sa démolition en 1887 (elles y avaient été cachées pendant la Révolution). Ces 2 statues sont classées; au-dessus de l’autel, une Vierge tenant l’enfant Jésus. Cette statue est de style médiéval : Marie est déhanchée, elle tient dans sa main droite l’Ancien Testament et dans sa main gauche, son fils Jésus jouant avec une colombe. Cette statue provient de l’ancienne église Notre-Dame. Elle portait le vocable d’origine populaire de : « Notre Dame de Nas de la Masse » La statue a été restaurée lors de la reconstruction de l’église actuelle

Dans la même chapelle on peut voir Notre Dame de Lourdes et saint François.

Vers le fond de l’église, sous le clocher, un crucifix et des plaques commémoratives des Enfants d’Olonzac tués pendant les guerres 1914-1918, 1939-1945, Indochine et Algérie.

De chaque côté de la porte latérale, les statues de sainte Jeanne d’Arc et de saint Michel. Ainsi que celle du curé d’Ars : saint Jean Marie Vianney.

Au fond, une plaque rappelle la consécration de l’église, sa patronne Notre-Dame de l’Assomption, les reliques enfermées dans l’autel, et le nom de celui qui l’a consacrée.

L’Orgue, commandé à Bernard Puget, comprend 16 jeux, 2 claviers ,1 pédalier ; le buffet est en bois de Nerva, et les tuyaux en étain pur poli. Il a été complètement restauré en 1990.